La phénytoïne et le valproate augmentent la teneur en phénobarbital dans le sérum sanguin.
L'effet anticonvulsivant du phénobarbital diminue avec la réception simultanée avec la réserpine, augmente avec l'association avec amitriptyline, nialamide.
Le phénobarbital accélère le métabolisme du diazépam et du chlordiazépoxide et entraîne une libération plus rapide des médicaments. De plus, avec l'utilisation combinée du phénobarbital avec ces médicaments, son effet anticonvulsivant est renforcé.
Réduit l'efficacité des contraceptifs oraux et des salicylates.
Réduit les taux sanguins d'anticoagulants indirects, de glucocorticostéroïdes, de doxycycline, d'œstrogènes et d'autres médicaments métabolisés par les enzymes microsomiques du foie.
Avec l'application simultanée avec la griséofulvine, il est possible de réduire l'absorption de la griséofulvine dans l'intestin.
Renforce l'effet de l'alcool, des neuroleptiques, des analgésiques narcotiques, des myorelaxants, des sédatifs et des hypnotiques.
L'acétazolamide, urine alcalinisante, réduit la réabsorption du phénobarbital dans les reins et affaiblit son effet.
L'effet hypnotique du phénobarbital diminue avec la réception simultanée d'atropine, d'extrait de belladone, de dextrose, de thiamine, d'acide nicotinique, d'analeptiques et de médicaments psychostimulants.
Réduit l'activité antibactérienne des antibiotiques, sulfamides.
Le phénobarbital est un puissant inducteur du cytochrome P450 (principalement l'isoenzyme) CYP3UNE4).