Avant la nomination de Prostenongel, il est nécessaire d'évaluer soigneusement la conformité du bassin et de la tête fœtale.
Le degré d'ouverture de la gorge, ainsi que l'état du fœtus et le tonus de l'utérus doivent être soigneusement surveillés pour la détection précoce possible des complications: hyperactivité et hypertension de l'utérus, mal foetal fœtal.
S'il y a des antécédents de contractions utérines hypertensives ou tétaniques, surveiller l'activité utérine et le statut fœtal pendant toute la période du travail induit.
Il faut se souvenir de la possibilité de rupture de l'utérus due à l'ingestion du médicament dans la cavité utérine. L'injection du médicament dans l'espace extra-amniotique est associée au développement de l'hyperstimulation de l'utérus.
Chez les femmes de plus de 35 ans présentant des complications survenues pendant la grossesse, ainsi qu'une période de gestation de plus de 40 semaines, il existe un risque accru de coagulation intravasculaire postpartum disséminée. Prostenongel chez ces femmes parturientes devrait être prudent. Il est nécessaire de déterminer dès la naissance le plus tôt possible s'il existe un risque de fibrinolyse chez les patients.
L'injection intracérébrale de gel de dinoprostone peut entraîner une rupture iatrogène de la vessie fœtale, suivie d'une embolie avec du liquide amniotique.
Si l'utilisation combinée de Prostenongel avec de l'ocytocine et d'autres utérotoniques est nécessaire, il faut faire preuve de prudence et surveiller attentivement l'état de la femme et du fœtus.