Symptômes
symptômes de la stimulation du SNC: (anxiété, anxiété, confusion, hyperpnée, tachycardie, tension artérielle accrue avec le visage rouge, nausée, vomissement, tremblement, convulsions convulsives, convulsions tonico-cloniques);
Les symptômes de la dépression CPP: (vertiges, perte auditive, perte de capacité de parler, perte de conscience, atonie musculaire, paralysie vasomotrice (faiblesse, pâleur), essoufflement, mort par paralysie respiratoire);
symptômes de dépression cardiovasculaire, bradycardie, arythmie, fibrillation ventriculaire, baisse de la tension artérielle, cyanose, arrêt cardiaque.
Traitement: lors des premières manifestations de symptômes d'effets toxiques lors de l'administration du médicament, il faut arrêter son introduction et amener le patient à une position horizontale avec les membres inférieurs surélevés. Il est nécessaire d'assurer la perméabilité des voies respiratoires et de surveiller les paramètres de l'hémodynamique (le nombre de battements cardiaques et la pression artérielle). Il est toujours recommandé, même si les symptômes d'intoxication semblent bénins, de mettre en place un cathéter intraveineux, si nécessaire, pour pouvoir procéder immédiatement à l'administration intraveineuse des médicaments nécessaires.
Si la respiration est perturbée, en fonction de leur gravité, l'oxygène est recommandé, et s'il existe des indications pour pratiquer la respiration artificielle, une intubation endotrachéale et une ventilation artificielle des poumons sont recommandées.
L'introduction d'analeptiques d'action centrale est contre-indiquée.
Les contractions musculaires et les convulsions généralisées peuvent être stoppées par injection intraveineuse de barbituriques d'action courte ou ultracourte. Il est recommandé d'injecter ces médicaments lentement, sous surveillance médicale constante (risque hémodynamique et dépression respiratoire) et avec apport simultané d'oxygène et contrôle hémodynamique. paramètres.
Souvent, une bradycardie ou une chute brusque de la pression artérielle peut être éliminée en déplaçant simplement le patient dans une position horizontaleles membres inférieurs.
En cas de troubles circulatoires sévères et de choc, quelle qu'en soit la cause, le médicament doit être arrêté et le patient doit être placé en position horizontale avec les membres inférieurs surélevés.Il est nécessaire de fournir l'approvisionnement en oxygène, l'administration intraveineuse de solutions d'électrolytes, glucocorticostéroïdes (250-1000 mg de méthylprednisolone), si nécessaire, les substituts de plasma, l'albumine.
Avec le développement de l'affaissement et de l'augmentation de la bradycardie, une injection intraveineuse lente d'une solution d'épinéphrine (0,0025-0,1 mg) sous le contrôle du rythme cardiaque et de la pression sanguine a été montrée. S'il est nécessaire d'administrer des doses supérieures à 0,1 mg, épinéphrine devrait être administré en perfusion, en ajustant le taux d'administration sous le contrôle du nombre de battements cardiaques et de la pression artérielle.
Les tachycardies sévères et les tachyarythmies peuvent être arrêtées par l'administration de médicaments anti-arythmiques, à l'exception des bêta-bloquants cardiosélectifs (voir rubrique "Contre-indications").
L'augmentation de la pression artérielle chez les patients souffrant d'hypertension artérielle, si nécessaire, devrait être réduite à l'aide de vasodilatateurs.